2e forum du CERFI : la paix sociale à l'ordre du jour

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Title
2e forum du CERFI : la paix sociale à l'ordre du jour
Creator
Issa Siguire
Publisher
Le Pays
Date
12 September 2013
Abstract
Le Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a organisé son 2e forum national. L'ouverture des travaux a eu lieu le 7 septembre 2013 à la Maison de la femme de Ouagadougou.
Spatial Coverage
Ouagadougou
Rights
In Copyright - Educational Use Permitted
Language
Français
Contributor
Frédérick Madore
content
Le Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a organisé son 2e forum national. L'ouverture des travaux a eu lieu le 7 septembre 2013 à la Maison de la femme de Ouagadougou.

Sous le Thème « Islam et paix sociale : approches, discours et pratiques », ce 2e forum a été parrainé par le ministre des Mines et de l'énergie, Salif Lamoussa Kaboré, et celui de la Culture et du tourisme, Baba Hama.

Les 7 et 8 septembre, les intellectuels musulmans ont mené une réflexion sur la paix sociale au Burkina Faso. C'était à l'occasion du 2e forum national du Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI).

Placé sous le thème « Islam et paix sociale : approches, discours et pratiques », ce 2e forum a été parrainé par le ministre des Mines et de l'énergie, Salif Lamoussa Kaboré, et celui de la Culture et du tourisme, Baba Hama.

Le ministre de la Culture et du tourisme, coparrain du forum, « c'est un honneur et un plaisir pour mon frère et moi, d'accompagner le CERFI dans ses activités ».

Il a affirmé qu'il est important que les intellectuels musulmans se retrouvent pour réfléchir sur la question suivante : comment contribuer, tout en pratiquant la religion, à instaurer un climat de paix et de quiétude ? « C'est un engagement fort et qui mérite d'être accompagné », a-t-il ajouté.

Lorsqu'on regarde le contexte international, poursuit-il, africain ou national, il est question de paix et de cohésion sociale pour le président du CERFI, Moussa Nombo, le thème retenu devrait permettre de renforcer les capacités en matière de construction de paix sociale.

Des sous-thèmes, comme le comportement du musulman dans la promotion de la paix au profit de la société, seront aussi abordés. Il a profité de l'occasion pour annoncer que le CERFI aura l'année prochaine un quart de siècle d'existence. Toute chose qui lui confère une responsabilité morale au regard des débats suscités par la mise en œuvre des réformes sociopolitiques. A l'entendre.

Le CERFI saura être à la hauteur des attentes de ses militants et des concitoyens. « Nous travaillerons avec les autres composantes de notre nation à ramener la collectivité à la réflexion et à la médiation afin de tracer ensemble les chemins pour un Burkina démocratique, paisible, pluriel et prospère », a-t-il conclu.
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