-
Attaques terroristes au Burkina en plein FESPACO : là, ce n'est pas du cinéma !
Dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 février dernier, deux commissariats situés dans la province du Soum, près de la frontière malienne, ont été la cible d'attaques quasi-simultanées de djihadistes. L'attaque a fait un blessé et de nombreux dégâts matériels, et a été revendiquée par le groupe Ansaroul Islam dirigé par le sinistre Malam Dicko. Baraboulé et Tongomayel sont les localités qui abritent les commissariats attaqués.
-
Attaques terroristes au Burkina Faso en plein FESPACO : un blessé et de nombreux dégâts matériels enregistrés L'information est désormais connue : dans la nuit du 27 au 28 février 2017, dans le Soum au Nord du Burkina Faso, deux commissariats de police ont été pris pour cibles par des individus armés. Cette attaque, revendiquée, selon certaines sources, par Ansaroul Islam, le groupe terroriste dirigé par Malam Dicko, n'aurait fait aucune victime. Des engins auraient été emportés. Des renforts ont été envoyés sur les lieux. Une opération de ratissage est en cours dans ladite localité en vue de retrouver les assaillants. Le Nord du Burkina Faso près de la frontière du Mali, connaît depuis 2015 des attaques d'assaillants qui se retranchent chaque fois en territoire malien, après leurs forfaits. Voilà le communiqué du ministre de la Sécurité, Simon Compaoré, en rapport avec ces évènements.
-
Attaques terroristes au Sahel : mettre fin à la comptabilité macabre
Depuis l'invasion de Nord-Mali par les djihadistes et l'implantation de Boko Haram dans le bassin du lac Tchad, la sous-région ouest-africaine est en proie à une insécurité ambiante. En effet, quand ce ne sont pas des restaurants et des hôtels qui sont attaqués au Burkina, ce sont des camps militaires qui sont pris pour cible au Niger voisin pendant que des villages entiers sont dévastés au Nigeria sur fond de rapts massifs ; tant et si bien que la comptabilité macabre, chaque jour qui passe, ne fait que s'allonger. Et c'est peu dire. Le dernier exemple en date de ces violences caractérisées est la série de meurtres enregistrés en milieu de semaine dans le septentrion du Burkina où cinq personnes, dans des villages différents, ont été froidement abattues par des hommes armés non identifiés.
-
Attaques terroristes répétées au Nord du Burkina : les organisations syndicales de l'éducation du Boulkièmdé remontées contre l'inaction de l'Etat
A l'instar de leurs collègues des autres localités, les enseignants du Boulkièmdé ont observé un sit-in, le 10 mars dernier au haut-commissariat. Objectif : répondre à un mot d'ordre général, lancé par les organisations syndicales de l'éducation pour rendre hommage à leur défunt collègue, Salifou Badini, froidement abattu par des terroristes, d'une part et, d'autres part, interpeller les autorités sur la défaillance du système sécuritaire du pays.
-
Attentat contre Charlie Hebdo : de la nécessité d'une croisade islamique mondiale contre les fous d'Allah
Ignoble. C'est l'une des épithètes nauséabondes qui se bousculent dans l'esprit des démocrates du monde entier, au moment de qualifier l'attentat contre Charlie Hebdo en France. En rappel, la rédaction de ce journal satirique français a été l'objet d'un véritable carnage en règle, dans la journée du mercredi 7 janvier 2015.
-
Attentats de Ouagadougou : un pied de nez qui doit interpeller
Pour la troisième fois depuis 2016, Ouagadougou a été visée par des attaques terroristes, avec un mode opératoire nouveau et des cibles stratégiques comme l'état-major général des armées (EMGA) et l'Ambassade de France. On croyait avoir vu le pire avec les attentats de janvier 2016 et d'août 2017, mais, de toute évidence, ce n'était qu'un galop d'essai pour ces forces obscures qui ont désormais le Burkina Faso dans leur viseur, et qui disposent d'une impressionnante logistique, d'un haut degré d'organisation et probablement de complicités dans notre appareil sécuritaire.
-
Audit de la gestion du Comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque : « Il y a des insuffisances certes, mais nous ne sommes pas des voleurs », dixit Cheick Omar Boni Bientôt, les premiers pèlerins du Hadj 2016 embarqueront pour l'Arabie Saoudite, afin d'accomplir le 5e pilier de l'islam. Au Burkina Faso, à plusieurs reprises, le hadj a connu des troubles d'ordre organisationnel. Mais, pour cette année, le Comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque (CNSPM), lors de son point de presse organisé le 20 août 2016 à Ouagadougou, rassure. Le comité note des « signes de satisfaction » et « le respect du chronogramme » des activités. Il est aussi revenu sur l'audit de sa gestion qui a fait couler beaucoup d'encre et de salive.
-
Augustin Loada, à propos de la journée continue dans l'Administration publique : « Les débuts seront difficiles certes, mais nous ferons des réajustements »
Hier 14 septembre 2015, des membres du gouvernement de la Transition ont rencontré les journalistes au ministère des Affaires étrangères et de la coopération régionale (MAECR). C'était dans le cadre de la traditionnelle rencontre entre les organes de la Transition et la presse. Ce rendez-vous dénommé « Face à la presse » a réuni quatre ministres de la Transition autour de la presse. Les échanges ont porté, entre autres, sur l'instauration de la journée de travail continue dans l'Administration publique ; les fraudes et l'éventuelle reprise des concours directs de la Fonction publique ; la nouvelle loi qui régit le monde des médias ; la formation et l'insertion professionnelle des jeunes et la tenue prochaine des premières assisses nationales sur l'économie numérique.
-
Aumônerie militaire : des prières pour le G5 Sahel L'Aumônerie militaire musulmane a organisé, le 26 janvier 2018, une prière dédiée au G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Niger, Mauritanie et Tchad), sous le patronage du Général de division Ali Traoré. Si pour le Général de brigade Oumarou Sadou, les forces armées sont limitées sans un accompagnement spirituel, l'aumônier militaire musulman, Cheick Boubacar Compaoré, a, lui, invité les fidèles musulmans à maximiser les prières pour la sécurité et la stabilité dans nos pays membres du G5 Sahel. C'était à la mosquée de vendredi du camp militaire Général Sangoulé Lamizana.
-
Aumônerie militaire à propos de l'attaque terroriste : « Condamner ne suffit pas », dixit imam Boubacar Compaoré
La récente attaque terroriste qu'a connue le Burkina Faso le 15 janvier 2016 et qui a fait couler beaucoup d'encre et de salive n'a pas laisser l'aumônerie militaire musulmane indifférente. Qualifiant l'acte du groupe terroriste Mourabitoûne d'ignoble et barbare, l'imam Boubacar Compaoré, aumônier militaire principal musulman, a, durant son sermon de vendredi non seulement condamné fermement cet acte anti-islamique, mais aussi invité tout le monde à plus de collaboration avec les Forces de défense et de sécurité pour mettre à nu toute autre tentative d'agression. C'était le 22 janvier 2016 au camp général Sangoulé Lamizana.
-
Aumonerie militaire musulmane : la fête sous le signe de la charia et de la coexistence pacifique interreligieuse
La grande prière de l'Ide al Kabîr, communément appelée fête de Tabaski marquant la fin du pèlerinage aux lieux Saints de l'Islam, a été célébrée par des militaires le 26 octobre 2012. Officiée par Boukary Compaoré, aumônier militaire musulman, cette prière s'est déroulée à la mosquée du Camp général Aboubacar Sangoulé Lamizana à Gounghin, Ouagadougou.
-
Bala Sakande en visite à Bobo : « Ma démarche n'est pas politique »
A la tête d'une délégation de députés, Alassane Bala Sakandé, président de l'Assemblée nationale burkinabè, a séjourné à Bobo-Dioulasso du 6 au 9 septembre 2018. Ponctuée de plusieurs activités, cette sortie se veut une manière pour le PAN, « de toucher du doigt les préoccupations des populations », mais aussi « rapprocher le Parlement de ces dernières ».
-
Bam : deux "Cheikh" ennemis se donnent la main A Hamdalaye, deux "Cheikh" en mauvais termes pendant longtemps ont courageusement décidé de passer l'éponge, de se donner la main et de regarder dans la même direction. Un exemple à suivre...
-
Banfora : des mosquées de vendredi pour les secteurs 4 et 7
Les secteurs 4 et 7 de Banfora disposent chacun d'une mosquée de vendredi depuis le 13 juillet 2012. Les deux « temples » ont été inaugurés ce jour en présence des autorités religieuses, administratives et de nombreux fidèles. Fini les longs parcours pour les fidèles musulmans des secteurs 4 et 7 de la ville de Banfora pour rallier la grande mosquée afin d'effectuer le culte de vendredi.
-
Banque islamique de développement : le Burkina Faso sur le réseau OICIS-NET Les autoroutes de l'information constituent aujourd'hui une donnée incontournable dans tout processus de développement. Y accéder est devenu la préoccupation de toute institution ou nation qui veut être à la pointe de la communication. C'est dans cette optique que la Banque islamique de développement (BID) a institué un réseau de systèmes d'information OCl dénommé OICIS-NET. Depuis le 30 juillet, le Burkina Faso a intégré ce réseau dont les multiples avantages contribueront certainement à renforcer ses facilités de communication.
-
Baptême de la rue Cheick Fode Abdoulaye Doucoure
Un hommage rendu à un illustre homme de Dieu
-
Baptème de rue : reconnaissance à El hadj Ousmane Sibiri Ouédraogo
Depuis le samedi 23 février 2008, la rue 1.24, située en pleine zone commerciale de Ouagadougou, porte désormais le nom de rue El hadj Ousmane Sibiri Ouédraogo. Ainsi en a décidé le Conseil municipal de Ouagadougou lors d'une cérémonie qui a réuni plusieurs personnalités dont le maire Simon Compaoré, et le président de l'Assemblée nationale, Roch Marc Christian Kaboré.
-
Bataille rangée à la mosquée de Zangouetin
Mercredi 17 juillet dernier, des sunnites (communément appelés Wahabia) se sont affrontés et, au moins trois personnes ont été agressées au marteau, dont un vieillard. C'était dans leur grande mosquée en chantier sise à Zangouetin, au secteur 5 de Ouagadougou.
-
BID : 15 milliards pour le Burkina Ce communiqué de presse du ministère de l'Economie et des Finances rend compte des récentes signatures de convention intervenues entre la BID et le Burkina Faso.
-
BID : les 25 ans fêtés à Ouaga Dans le cadre de la 26e session de la Conférence islamique des ministres des Affaires étrangères (CIMAE) de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) a été célébré, le 1er juillet 1999, dans la salle de conférence de Ouaga 2000, le 25e anniversaire de la Banque islamique de développement (BID). Ce jubilé d'agent était placé sous le parrainage du chef de l'Etat burkinabè, Blaise Compaoré. Un symposium sur le thème : "Les pays membres de l'OCI face au 21e siècle : rôle de la Banque islamique de développement" et une exposition de photos sur les projets de la BID au Burkina ont, en sus, marqué cette journée.
-
Bissiri Joseph Sirima, député « En politique, soit on travaille pour le peuple, soit on travaille contre le peuple »
Bissiri Joseph Sirima se présente comme une des figures emblématiques du MPP dans les Cascades. Dans cet entretien qu'il a bien voulu nous accorder, il invite les acteurs de son parti qui, de façon souterraine, mettent des structures en place, à se ressaisir car, selon lui, ce sont des pratiques qui ne feront pas gagner le parti. Il parle également de son implication dans la résolution de la crise au sein de la communauté musulmane de Banfora et dans l'apaisement de la situation à Nafona où deux officiers de police ont trouvé la mort. Lisez !
-
Bobo : Lat se ressource auprès des autorités religieuses et coutumières
Le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao (LAT), était le porteur d'un message du président du Faso aux autorités coutumières et religieuses de Bobo, le lundi 14 janvier 2013. Remercier celles-ci pour leur implication constante au maintien de la paix au Burkina, et par la même occasion demander leurs prières et bénédictions pour que règne la paix sur la terre des Hommes Intègres. Tel était l'essentiel du message de LAT à ses visités de Bobo.
-
Boeufs de la Mecque : la foi qui ruine Quitte à brader leur bétail, les éleveurs peuls ne rateraient pour rien le pélerinage sur les lieux saints de l'Islam.
-
Caricatures sur le prophète Mahomet : les musulmans du Burkina protestent
En signe de protestation contre les caricatures du prophète Mahomet dans la presse danoise, une délégation de la fédération des musulmans du Burkina Faso, forte de 5 personnes et conduite par El Hadj Souleymane Compaoré, a remis le 8 février 2006 une lettre à Thomsen Margit, ambassadeur du Royaume du Danemark au Burkina.
-
Ce sera le 16 novembre
Dans le communiqué de presse ci-dessous, la Fédération des associations islamiques du Burkina annonce que la fête de la Tabaski aura lieu le 16 novembre 2010.